Voici mon tirage du lundi 09 septembre dernier. Pour ceux qui s’intéressent à l’astrologie, le 9 septembre 2019 aura comme essence 999 ouvrait définitivement un portail énergétique.
Ce tirage a donc été des plus intenses (c’est pourquoi j’ai tardé à le partager avec vous). Déjà j’ai 8 jeux de cartes oracles différents et pour rajouter dans l’intense, avec certains jeux, deux cartes sont sorties.
Je ne vais pas rentrer dans le détail de chaque carte. Déjà je vous laisse les découvrir et je vais clore cet article par un petit paragraphe des notions qui m’ont interpellées.
Belle et longue (^^) lecture.
Je sens effectivement bien que cette année 2019 est bouleversante et marque un tournant. Des peurs, des anciens schémas se bousculent comme pour me permettre de les vivre à nouveau et soit de continuer à travailler dessus soit de les laisser au passé. Et cela bouscule vraiment ma zone de confort. Même dans les points négatifs, on est en confiance car on sait. Même si c’est pour aller vers le mieux, cela fait peur. Et ma peur est immense. A moi de choisir si je me sens d’avancer vers cet inconnu ou si je ne suis pas totalement prête (Petit spoiler : j’ai très très peur mais mon envie d’aller vers cet inconnu est de plus en plus viscérale 🙂 ) et ainsi pouvoir exprimer ma vérité profonde.
La notion de lâcher-prise émotionnelle est, je l’avoue, encore dans l’inconnu pour moi. Je suis un vrai soufflé et une montagne russe d’émotions. C’est épuisant, j’en conviens. Mais la modération ne fait pas encore partie de mon être. Tout est très intense avec moi. Ainsi, le rappel à respirer est des plus inspirants 🙂
En allant vers ma vérité, je vais accomplir pleinement ma mission. Actuellement elle a du mal à s’imposer car mes peurs prennent le dessus. Néanmoins ma formation de sophrologue commence en octobre (donc très bientôt) et je pense que donnera un aspect tangible à cette mission de vie.
Je vous avouerais que la carte « Le lac » me laisse perplexe. Peut-être un rappel que la créativité, sous toutes ces formes, me permet de m’accomplir et que j’ai eu jusqu’à maintenant trop eu tendance à choisir la facilité des films/séries au lieu d’aller à la rencontre de ma créativité. Aujourd’hui, ce besoin est lui aussi viscéral et je lui offre de plus en plus de place.
Materner, aimer l’autre, est, je pourrais dire, une seconde nature chez moi. Mais comme souvent, ce que je fais pour l’autre, je ne le fais pas pour moi. Cette problématique de l’amour de soi, de se materner, de prendre soin de soi, est de plus en plus centrale. Déjà parce que mon corps me le rappelle chaque jour par des douleurs très précises. Et également parce que ma fragilité, celle que je cache, demande à s’exprimer, à être vue, à être protégée, maternée, aimée, par moi bien sûr mais aussi par les autres, ceux qui ne l’ont pratiquement jamais vu. Cela me fait peur. J’avoue avoir peur d’être rejetée ou incomprise. Mais c’est comme une injonction de mon être profond et il est de plus en plus difficile de la laisser à l’abri. Et bien sûr cela fait également écho à ma mission de vie : aider les autres. Mais pour aider pleinement l’autre, je dois m’accomplir totalement. D’où laisser sortir fièrement cette fragilité.
Bon, ce n’est pas vraiment un petit paragraphe 🙂 aahhh, l’écriture cathartique, quel bonheur 🙂
Il y a des choses très plaisantes à lire dans le paragraphe de cloture, notamment le deuxième paragraphe, qui montre vraiment que tout est à venir… Vous en avez tellement conscience que tout est à portée, mais effectivement le Jeu (Je) de tensions est chez vous comme un champ de force, qui ferme hermétiquement tout autant vers l’intérieur que vers l’extérieur…
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Merci pour ce beau commentaire tout en justesse. Heureusement cette fermeture n’est pas automatique ni même centrale 😉 Mais néanmoins suffisamment importante…
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Vous avez largement à faire avec tout le « reste »…. 😉 Une chose après l’autre et parfois, cela agit comme un puzzle lorsque l’on assemble un nombre suffisant pour les pièces et que les restantes sont assemblées dans un flux qui n’est plus qu’accessoire et cohérence pour finaliser… Je ne me suis pas trop intéressé aux oracles ci-dessus, peu familier de la chose, voire réfractaire, tellement chaque interprétation n’est généralement que pâles copies du Yi King originel voire de l’ecclésiaste et sa cohorte de poncifs éculés… Mieux vaut toujours l’original à la copie…, Mais tout parle pourvu que l’on y porte et prête attention….
Il fait plaisir de vivre ainsi les changement à « vos côtés », depuis des mois (en émois-sic)
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