Au fur et à mesure des années passant, j’ai assumé ma voie, celle d’accompagner les autres. Être à leur écoute, leur proposer des questionnements pour leur permettre de voir leur situation d’un autre point (en faisant un pas de côté par exemple ou en observant la situation avec un peu de hauteur). Je n’avais pas forcément d’idées précises sur la manière de les aider. L’art-thérapie m’intéressait tout comme la psychologie. Puis ma thérapeute m’a parlé de la sophrologie. J’en avais déjà pratiqué une année et j’en avais gardé une bonne impression. Je me suis dit que cela pourrait être un bon début. Je pourrai plus rapidement m’installer en indépendante et que la sophrologie serait une vitrine et un outil intéressant à proposer. Les formations duraient entre 6 et 18 mois. L’art-thérapie trois ans. J’étais pressée d’entrer dans cette voix. Après quelques recherches, je décidais de choisir l’Ecole de Sophrologie Caycédienne. J’aimais l’idée d’être formée à la sophrologie par une école qui transmettait sa méthode authentique. Lors de mon entretien, j’ai rencontré Frédéric. J’ai aimé son écoute et sa bienveillance. Cela m’a conforté dans mon choix.
Je n’avais pas compris que la sophrologie est bien plus qu’une formation. Elle est une manière d’être, de vivre, de ressentir, d’être à soi. Et cela a été un bouleversement bien plus qu’inattendu et déstabilisant. Mais bienvenu.