
Mon mémoire
Une première étape est passée, j’ai rendu mon mémoire. Et quelle étape… J’ai décidé de le publier sur mon blog. C’est un témoignage très personnel. Chaque personne vit cette formation à sa manière, chaque témoignage est unique. J’ai écrit mon mémoire sous forme d’articles. L’écrire chronologiquement ne me parlait pas du tout. Je peux mettre des mois à intégrer une notion et en 24h passer plusieurs étapes d’un coup. L’écrire sous forme de thématique me parlait et me ressemblait vraiment.
Il y aura donc sept articles qui seront à la fois thématique et qui marqueront aussi une progression dans mon travail personnel.

2. Du corps à la corporalité : de la douleur à la découverte naïve et joyeuse de mes grains de beauté
J’ai d’abord redécouvert mon corps dans la douleur, mais une douleur bienvenue qui a confirmé que oui je peux être connectée à lui. Puis mon lien à mon corps s’est inscrit dans la douceur, les émotions, les sentiments. Et presque chaque jour, je découvre sa richesse.

5. Un retour à l’essentiel ou comment il devient impératif pour moi de finir mes pots de crème
Avec la sophrologie, je m’allège.

6. Connaître mes limites, trouver où se situe le curseur de mon bien-être, accepter d’être tout simplement : l’apport de la sophrologie dans ma vie
Savoir ce qui est bon pour moi, me respecter, poser mes limites. Les bienfaits de la sophrologie pour mon bien-être.

Préambule
J’y exprime ma conscience ordinaire, dans quel état d’esprit j’ai abordé cette formation.

1. De la difficulté d’écrire son mémoire ou quand l’impression d’une fin n’est que l’occasion de prendre du recul sur le chemin parcouru
J’exprime ma difficulté à écrire ce mémoire et en quoi cette pause a été salvatrice.

3. La confrontation aux souvenirs ou la difficile exploration de mon passé
Mon rapport aux souvenirs n’est pas simple. Jusque là j’en avais peu et cela me convenait parfaitement. Et avec la sophrologie, je m’aperçois que tout est en nous.

4. La sophrologie, partie intégrante de ma vie ou comment parfois j’ai l’impression de vivre dans un flipper géant
Avec la sophrologie, je me sens sur-stimulée et mon hyper-sensibilité s’exprime de plus en plus. C’est une expérience stimulante mais tout aussi fatigante.

7. La force du groupe ou la rencontre nourrissante des caycé’douces, la douceur au féminin
En plus d’une méthode, j’ai surtout rencontré des personnes exceptionnelles, douces, bienveillantes où je me suis sentie en confiance.